Voilà trois longues semaines que je n'avait pas daigné sortir prendre l'air car bien trop occupé à farfouiller à l'intérieur de moi une quelconque envie de continuer mes études ainsi qu'à cherché une volonté pour chercher un autre parcourt que celui que j'avais actuellement pris. J'avais passé la majeur partie de ces semaines à consulté toutes les université qui serait susceptible de m'intéressé et malgré les photos prestigieuse, les enseignements prodigieux, je n'avait trouvé en rien la satisfaction que j’espérais trouvé. J'avais tout bonnement abandonné. Je n'avais jamais été réellement armé de patience dans le passé alors ce n'est pas aujourd'hui qu'un miracle allait arrivé pour que je m'arme d'une patience quelconque sois-elle.
Ce soir j'avais décidé de me détendre tant bien que mal et aussi décompressé de l'enfermement que j'avais subit. Car lorsque je disait n'être pas sortit de ma cabine durant trois semaines je n’exagérais pas. J'étais réellement resté cloîtré, ne prenant même pas un bol d'air, ne sortant même pas. Je me contentais plutôt à ce que l'on me serve dans ma chambre et à vivre dans ma cabine comme un lion en cage. J'avait réalisé la gravité de la situation lorsque j'avais remarqué la date inscrite sur mon ordinateur. J'aurais cru au départ à une blague de mauvais goût mais étant la seule résidente dans cette chambre je m'étais rendu à l'évidence qu'à moins d'être complètement folle et d'essayer de me faire rire toute seule, le temps était passé atrocement vite.
Je m'étais tout de même donné une journée de plus dans ma cabine afin de ranger tout ce que j'avais semé sur mon passage et pratiqué sur moi un réel nettoyage de printemps. Le matin je m'étais réveillé aux aurores pour ranger mes affaires en désordre, faire mon lit, aérer la pièce et apporter mes affaires sale (il y en avait une montagne) à la blanchisserie. Une fois ces activités fini je couru sous ma douche afin de me détendre un court instant, profitant de l'eau chaude qui coulais le long de mon corps et par ailleurs à m'autoriser quelques enfantillages en jouant avec mon gel douche. Une fois propre je m'enroulais avec un réel plaisir dans une serviette tiède, il n'y avait rien de mieux pour me sentir à l'aise et de bonne humeur.
Je resta un long moment vêtu ainsi avant de décidé vu l'heure tardive d'aller profiter de ma jeunesse au nightclub. Je retourna alors à ma salle de bain pour me vêtir tout d'abord de simples sous-vêtements avant de rester un long moment devant mon armoire rempli de robes et autres vêtements avant de dénicher une somptueuse robe satiner de couleur saumon qui tombait parfaitement le long de mes formes, elle avait quelque chose que j'adorait; Une rivières de perles cousues à celle-ci qui tombaient parfaitement dans mon dos. Je souriait devant ma glace et fila derechef à nouveau à ma salle de bain pour sécher mes cheveux qui avaient ondulés quelque peu mais au lieu de m'accorder la tâche de les brossés pour que ceux-la sois parfaitement lisse je les laissa ainsi et me maquilla légèrement, ne désirant pas en faire trop. Une fois ma toilette terminé je parfuma furtivement mon cou avant de me diriger hors de ma cabine en direction du nightclub. Je pouvais facilement y arrivé, je me referais au bruit de la musique car je n'y était jamais aller auparavant.
Une fois arrivé, j'étais comme aveuglé. Il y avait la musique qui fusait et les lumières qui s'éclairaient à intervalles bien trop rapide pour mon oeil ce qui me donnait alors l'impression d'avoir constamment des flash dans les yeux. Me joignant tout de même à la foule, je descendait les marches qui menaient à la piste de danse, j'avais dans l'idée secrète de revoir Bartholomé car depuis que je m'étais enfermé dans ma cabine il avait dût penser que je l'avais fuis sauf que c'était loin d'être le cas. Je ne savais pas si il était là ce soir mais j'avais la sensation de le savoir bien assez tôt, malgré la masse importante dans la salle je le savais ici comme si il me l'avait dit.

" Stand by me, nobody knows the way it's gonna be. "
Lou des Bois & Barthou.

Trois semaines passèrent sans que je me rends bien compte de l'ampleur de ma situation. Ma mère avait eu l'audace de me présenter une femme afin que je puisse soit disant conclure et lui faire de beaux enfants. J'étais sidéré par son comportement ! Si cela ne cessait point, j'allais finir par haïr les femmes, dont ma mère. Cette colère qui émanait du plus profond de mon âme me rendait aigris, maussade et de très mauvaise humeur. C'est ainsi, que je me retrouvais face à moi même dans la glace, essayant de prétexter une quelconque excuse pour ne pas aller à cette soirée. Un ami peut de confiance, m'avait soigneusement inscrit sur la liste, histoire de se nourrir de certains ragots. Pensant trouver l'excuse de l'homme malade avec une fièvre, je me trouvais finalement dans une situation peu crédible ou je devais bien l'admettre qu'il m'était indispensable d'y aller. Pour éviter encore une fois les commérages de mauvais goûts venant jusqu'à oreilles sensibles de ma pauvre mère. Je poussais un long soupir d'exaspération en jetant un dernier coup d'œil à ce miroir. Il était notamment indispensable pour moi d'être vêtu de façon élégante. Encore une fois, les riches avaient ce don si particulier de critiquer avec des jugements sans équivoque. Je n'allais pas non plus chercher à attiser les regards pleins de convoitise. En l'occurrence j'avais adopté un costard très simple avec un nœud de papillon. Je fuyais déjà ma cabine avec un triste remord au cœur afin de me diriger vers cette fête soit disant phénoménale. Je n'avais même pas pris le temps d'admirer ma coiffure, étant donné que j'étais si pressé que la soirée se finisse. Je ne devais pas être aussi laid, personne ne c'était arrêter brusquement pour m'indiquer la coiffure ignoble que j'avais arborée. Du moins, j'avais les cheveux en bataille. Et alors ? Pourquoi se donner tant de mal dans une coiffure ? Bref, je passais la porte du Nightclub sans difficulté avant de me retrouver entouré d'une horde de personne. Je me sentais déjà étouffer. Je m'étais promis de faire un effort et de ne point fuir face au moindre obstacle qui se trouvait devant moi. J'avançais aussi naturellement que possible vers le bras afin de commander une boisson gazeuse digne de me rafraichir les papilles. Mon regard se portait sur la foule qui se trémoussait au milieu de la piste. Le décor était bien évidemment sublime. Je desserrais habillement mon nœud de papillon. Oh combien il me gênait ! Mais il paraîtrait qu'il faut souffrir pour être beau ? Enfin trêve de plaisanterie ! Une fois mon verre d'eau gazeuse à la main, et enchanté par l'idée de me rafraichir un peu, mes yeux retombèrent une nouvelle fois sur la piste. Décidément, les gens étaient déjà ivres. Pathétique. J'entrepris de finir mon verre rapidement, quand soudain j'aperçus une silhouette familière. Le genre de silhouette qu'on ne risquait pas d'oublier d'aussitôt. Lou. Elle était divine. Cette robe marinait subtilement avec la couleur de sa peau et ses formes généreuses. Je ravalais ma salive avec maladresse, pensant oublier cette image gracieuse de ma mémoire. Elle avait l'air de se porter plutôt bien, ce qui me détendait d'avantage. Je n'osais évidemment pas m'approcher d'elle. Je n'étais décidément pas l'homme aux mille bravoure. Mais en aucun cas mon regard se détachait d'elle. Même le bruit, les rires aux alentours, les lumières aveuglantes ne me perturbait guère. A croire que j'avais été envoûté. Une fois de plus, j'attendais sagement que le destin se joue de moi.

La foule qui s'amassait autour de moi était oppressante, perverse et sans nul doute avide de mettre une héritière ou une fille consentante dans leurs lits. Les regards qui se portaient sur moi m'en ramenait à cette conclusion et c'est bien rapidement qu'un air de regret me parcouru de la tête au pied.
Je pris alors une grande inspiration avant de pénétrer au milieu d'hystériques et d'autres héritiers complètements éméchées qui dansaient de façon grotesque et qui ne ce gênaient pas pour se coller à moi en essayant de m'entraîner dans leurs danses endiablés. Certes j'aurait dût profiter comme il se doit de cette soirée étant donné que je n'avais pas pointé mon nez depuis un bon moment hors de ma cabine mais les personnes présentes ne me donnait en rien l'envie de profiter de quoi-que-ce soit. Soupirant doucement j'essaya de trouver un endroit au calme ou je pouvais profiter de la musique tout en restant dans un endroit bondé de monde. Certes, l'idée était stupide mais j'avais dans l'idée de voir quelques personnes que j'aurait pût connaitre.
J'entrepris alors d'aller m'isoler au bar et d'essayer en même temps d'échapper à un vulgaire gigolo qui me dévorait du regard en me suivant à la trace, il fallait à tout prix que je m'en débarrasse. Quel idée d'avoir mis une pareil robe pensais-je en atteignant bientôt le bar. Le garçon lui continuait à me poursuivre, surement ivre et attiré par la coupe de ma robe je regrettais d'or et déjà le temps que j'avais mis à choisir ma tenu.
C'est alors que je l’aperçu, assis à un tabouret, un verre à la main et qui m'avait déjà sans doute vu puisque sont regard était porté vers moi. Bartholomé. Un sourire soulagé s'étira le long de mes lèvres lorsque je l'aperçu. Beaucoup auraient dit que dans les circonstances de notre dernière rencontre il m'aurait été difficile de le reconnaître tellement celui-ci était habillé de façon classe et déroutante. D'autant plus résistible qu'en maillot de bain. Je m'approcha alors de lui, espérant que celui-ci m'avait vu. Lorsque j’atteignis le bar et pour qu'il vois que je l'avait vu, je posa ma main sur sont épaule avait un grand sourire.

- Toi ici ? Le destin fait atrocement bien les choses !

Mon sourire était omniprésent mais au fond de moi je ne savait pas comment le salué car il était vrai que je ne cessai de penser à ce qu'il nous étaient arrivés à la piscine. Essayant tant bien que mal de tiré cette pensé de mon esprit je m'installa à ces côtés, regardant discrètement ce qu'étais devenu le pot de colle qui me suivait il y à dix minutes. Visiblement celui-ci avait abandonné sa tâche et il se lisait sur sont visage un grand regret, j'en étais fortement satisfaite. Je reporta immédiatement mon intention à Bartholomé, mes yeux ne pouvait pas cesser de le quitter et j'étais au fond de moi très heureuse de le revoir étant donné que je m'en était persuadé du contraire. J'étais surement passé pour une fuyarde de première mais au fond, j'étais venu par moi-même à son encontre ce qui était par la une preuve de mon attachement soudain qui ne faisait que croître en sa présence mais je me devait de calmer mes pensés.

- C'est affreux comme trois semaines peuvent changés les choses, je ne pensais plus te voir ici et je doit t'avouer que si ça aurait été le cas j'en serais sortie affreusement blessé.

Un nouveau sourire s'élargit sur mes lèvres tandis que je commanda une simple limonade auprès du serveur qui me faisait de l'oeil. J'étais certes habitué à ce genre de choses mais pas en la présence de quelqu'un que j'appréciais. J'étais affreusement mal à l'aise de la situation et priais par ailleurs que cela ne se lise pas sur mon visage, je faisais tout mon possible pour me concentré sur les retrouvailles que j'avais eu avec Bartholomé.