01.let's play a love game ϟ jazz'

Invité

ϟ don't knock it, don't knock it

Je vois l'amour comme un jeu de poker, tout bêtement.Car celui qui, on ne sait pour quelle raison d'ailleurs, mens le moins est celui qui perds tout. J'avais l'impression d'être ce joueur, moi. J'avais l'impression d'avoir tout perdu et de n'avoir aucune façon de retrouver mes moyens. Bon, possible que je vous raconte des salades. Possible aussi que je parle de poker parce que je suis au casino du paquebot en train de miser une bonne somme de blé sur une table de blackjack. Il n'en demeure pas moins que j'ai raison, que l'amour ça tue et que c'est nocif pour la santé de quiconque le ressent. Je ne dis pas qu'il faut absolument rester seul. Il y a forcément un moyen de combler ses besoins affectifs d'une autre méthode que de refiler une bague qui vaut plus que le prix de mes fesses sur ebay et du coup d'en être prisonnier toujours. Croyez-moi quand je vous le dis, l'amour c'est mauvais, et ça le sera toujours. C'est tout bonnement une perte de temps. Vous ne me croyez pas? Alors c'est sans doute parce que vous n'avez jamais aimé au point de ressentir la souffrance jusque dans votre âme... Ça m'est arrivé, et ça m'arrive encore. Cette impression que jamais ça n'ira mieux, moi, je la vis au quotidien. Alors non merci, je préfère passer mon temps à repousser les occasions qui s'offrent à moi plutôt que de retourner dans un enfer qui n'est d'ailleurs pas très loin derrière moi. Il attend simplement que je capitule pour me prendre encore une fois, ma dignité, ma conscience et mon bonheur. Alors non, je passe mon chemin. Tant mieux pour ceux qui vivent heureux. Mais on crève tous un jour, et pas forcément en même temps. Je ne veux plus jamais ô grand jamais revivre ce qui m'a coûté plus de six années de bonheur absolu. « Je vous sers quelque chose à boire, Monsieur? » me souffla une jeune serveuse au regard vert émeraude, battant des cils par la même occasion. Bordel de merde, pas moyen d'avoir la paix même au casino? Je m'efforçai de sourire, ce qui me donnait un air franchement arrogant. « Une guinness. Merci. » elle tourna tout aussitôt les talons, et je levai les yeux en l'air. Le croupier me demanda de miser. Ce que je fis sans réfléchir. deux cent dollars et quelques centimes. C'était tout ce qui me restait du profit de mon concert de la veille. Mais je ne misais que la moitié. Le croupier tourna alors la première carte. As. C'était bien part..Je me frottai les mêmes, pour me donner une certaine chance.« Carte! » Le croupier s'exécuta et retourna doucement la deuxième carte. Les yeux écarquillés, j'avais peine à croire d'être tombé sur un valet de coeur. 21. Blackjack. Je venais de gagner milles beaux dollars. J'avais hurlé si fort que tout le monde s'était retourné pour voir qui était l'abruti qui semblait s'être fait écrasé les noix par un des croupiers des environs .Une jeune femme vint alors me souffler à l'oreille « Bravo mon lapin, Où allons-nous manger ce soir? » Je me retournai , en affichant un air d'un gamin qui venait de se faire prendre à piquer des bonbons à la confiserie du coin.

Jazz' ou plus communément connu sous Jazziella. Cette fille me faisait rager surtout parce qu'il me prenait une envie incoercible de soutirer un langoureux baiser de ses lèvres parfaites.Mais aussi parce qu'elle avait le don immuable de s'immiscer dans ma vie comme aucune ne l'avait fait auparavant. Mon attachement pour elle n'avait pas de mots.Elle était devant moi, moi qui la recherchait avidement sur le navire depuis une bonne semaine, mains sur les hanches, un sourire moqueur sur les lèvres. D'un geste naturel, je tirai la langue, lui offrant une grimace caricaturale des plus magnifiques. Un rire cristallin s'échappa de ses jolies lèvres. Et puis un silence qui s'installait confortablement, un silence magnifique un peu comme celui que l'on écoute lorsqu'on regarde la mer. l'on pouvait entendre le vent, le claquement des vagues les unes contre les autres.. et puis une phrase de merde, sifflée sans réflexions, digne d'un imbécile tel que moi. « C'est un rencart que tu me demandes là où j'hallucine? » je buvai d'un trait ma bière, un bruit de satisfaction s'échappa de mes lèvres, la Guiness était la meilleure bière brassée dans ce bas-monde, j'en aurais mis ma main au feu.. Je me levai alors de mon siège pour affronter les braises de ses yeux qui me consumaient un peu plus à chaque fois.Divine femme qu'elle était.

Invité

let's play a love game

Une semaine. Oui c’est bien ça ! Il m’aura fallut une semaine pour mettre fin à ce foutu article. Et je n’y avais pas passé que mes journées dessus, mes nuits m’avaient été aussi volées comme de la mauvaise paperasse. J’en avais l’habitude certes puisque cela faisait un petit moment que je faisais ça mais cet article tombait au moment où j’avais décidé de reprendre ma vie en main. De ne plus me lamenter sur mon sort à cause de ce foutu agent du FBI qui m’avait largué comme la peste en personne. En faites, ça avait été plus simple que je ne l’aurais cru, peut-être que je ne l’aimais pas autant que je le pensais. Ou bien, c’était à cause du mal qu’il m’avait fait. J’ai toujours été ainsi quand je souffre, il faut que je mette tout de côté et que je recommence. Je l’avais déjà fait deux fois et ça avait parfaitement fonctionné alors pourquoi une troisième fois, ça n’irait pas. Et puis là, personne n’était mort, on respirait tous les deux chacun de notre côté et j’espérais ne plus jamais le revoir. Du moins, je l’espérais pour lui pour qu’il n’ait pas entendre tout ce que j’ai à lui dire et ce n’est pas des choses gentilles. Et voilà que je me remettais à penser à lui et à en parler, c’était la seule chose que je ne devais pas faire. Seulement, le passé nous rattrape toujours et on ne peut s’empêcher de le voir hanter notre tête. C’est comme une mauvaise drogue dont on est un accro et qu’on n’arrive pas à se débarrasser. Pour éviter de retomber dedans, je cliquais sur le envoyer de ma boite mail. Un accusé de réception arriva immédiatement et d’un sourire triomphal, je me frottais les mains. J’avais enfin devant moi quelques jours de repos avant que je reçoive un nouveau sujet à traiter pour le prochain mois. J’attrapais dans l’armoire une tenue, ni trop habillée ni trop simple, je n’avais pas la moindre idée de ce que je voulais faire. J’avais la nuit devant et affreusement faim. Je n’avais pas envie de diner seule, non pas ce soir, je voulais m’amuser comme une adolescente de dix-sept ans à peine. Et c’est vers le casino que mes pas me conduisent. J’ai toujours détesté les jeux d’argent. Tout simplement parce que je n’ai jamais eu de chance là-dedans, à chaque fois, j’ai perdu. En réalité, je mise n’importe où sans vraiment savoir ce que je fais, je fais ça à l’instinct et ça ne marche pas du tout.

Naviguant entre les machines et les tables de blackjack et autres jeux, je regardais les personnes présentes en essayant de trouver quelqu’un qui conviendrait à ma soirée. Pourquoi pas un parfait inconnu qui me changerait les idées. C’était un plan plutôt bon jusqu’à que j’aperçoive Oakley à une table de jeu. Avançant à petits pas, je vins me poster derrière lui. Ni trop près, ni trop loin. Je m’attendais à le voir perdre et pouvoir lui rire au nez. Manque de bol, il gagna la partie et remporta une bonne petite somme. « Bravo mon lapin, où allons-nous manger ce soir ? » Je n’avais pas pû m’empêcher. C’est vrai que la plupart du temps, il me sortait par les yeux surtout depuis le jour où il avait joué à l’ange gardien en me rattrapant de juste alors que j’avais glissé. Seulement, il avait ce quelque chose qui me faisait complètement craquer. Et même si j’avais envie de me retrouver dans ses bras, je faisais tout pour ne rien montrer et faire comme s’il ne m’intéressait point. Et le pire, c’était quand je sortais des répliques dures et méchantes. C’était pour éviter de penser à ce foutu organe qui battait la chamade. Avant de reformuler une quelconque phrase, il me tira la langue comme un enfant de cinq ans. Très immature mais je ne pu m’empêcher de rire. Les réactions qu’il avait été encore plus craquantes. Pour un autre homme, ça m’aurait apparu complètement idiot et enfantin, pour lui il n’en était rien. « C’est un rencart que tu me demandes là ou j’hallucine ? » Je ne pu m’empêcher de mordre ma lèvre du bas signe de ma petite gêne. Mais ça, il ne le saurait pas parce que je stoppais ma mimique immédiatement. Et puis, il était bien plus concentré par sa bière que par autre chose. J’attendais qu’il se lève avant de lui répondre. Je dois dire que c’était l’idéale, je cherchais mes mots. Dès qu’il fut face à moi, mes yeux se fondaient dans le vert des siens. « Un rencart ? » Je me mis à rire lui montrant que c’était absolument idiot. « Tu te crois si irrésistible que ça mon chou. » apparemment, il n’allait pas m’offrir de repas alors je tournais les talons mettant un coup de tête pour que mes cheveux me suivent. Digne d’une publicité pour un shampoing. J’exagérais la chose comme je le faisais chaque fois avec lui. Il y avait ce jeu entre nous. Un jeu très puérile quand on le regardait de l’extérieur. Je cherchais des yeux un homme. N’importe lequel ! Je pointais du doigt et me tournais vers Oakley. « Tant pis pour toi, je vais aller dîner ce charmant homme à l’autre table. »

Invité

01.let's play a love game ϟ jazz' Tumblr_ljt5tugf671qdbyi5o1_500

ϟ if you give me the chance, i'mma be somebody

Vous savez ce qui est le plus con dans toute cette histoire ? C'est qu'en me levant ce matin, j'avais ressenti le besoin ultime de revoir son visage..Tel un voeu exaucé, elle apparaissait maintenant devant moi comme un mirage... ou comme une malédiction. Je ne savais pas encore. Notre relation était, disons-le ouvertement, quelque peu tumultueuse. On se lançait des piques, se dévoraient sans retenue des yeux, s'éloignait , pour ensuite mieux se rapprocher. Ce petit jeu à lequel nous nous identifions était maintenant devenu routinier. Mais rassurez-vous, à ce jour je ne m'en étais pas encore lassé.Et puis, sérieusement, comment se lasser de Jazziella ? Elle était une énigme à elle seule, un mystère que je devais de résoudre, et vite, comme sa ma vie en dépendait, comme s'il ne me restait quelques minutes à vivre. Ça peut sembler fou, voir un peu précipité, de flirter avec cette jeune femme alors que nous nous connaissons depuis seulement , allez j'estime, quatre mois. Ce n'est cependant pas tant la durée qui a créer ce lien si singulier entre nous deux , mais plutôt la profondeur de nos conversations. Quand elle ne s'amuse pas à me rembarrer gentiment, elle me parle de tout, de rien , des heures et des heures. Et moi, idiot passionné, je l'écoute, je bois ses paroles comme si elles avaient été ses dernières, je comprend, et je la devine doucement, le désir m'emportant dans son tourment, comme une tempête dévastant tout sur son unique passage.Mais de là à affirmer que je ressentais des choses qui allaient bien au delà des tentations qui tournoyaient dans ma tête, non.Jazz n'était à mes yeux qu'une partenaire de jeux, qu'un précieux objet qui m'était défendu, que JE me défendais, pour le bien de tous mais surtout, surtout pour son plus grand bonheur. Car être avec moi était quelque chose d'indescriptible. Complexe, brisé et rancunier, mes histoires de cœur n'avaient jamais vraiment duré. Enfin, j'exclue Barbara, bien évidemment. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle je ne crois plus à l'amour. On croit avoir tout perdu avec la mort. J'espérais, tout au fond de moi, avoir tord. J'espérais trouver, un bon jour , la femme qui surpasserait Barbara sur tous les aspects. Est-ce que je mettais la barre un peu trop haute, sans doute oui. Je voulais rester seul, n'était-ce donc pas suffisamment clair? « Un rencart? » sa voix m'extirpa alors de mes songes. Elle semblait amusée. Son rire vint confirmer le tout. Et je me renfrognai. Si c'était à ça qu'elle voulait jouer...« Tu te crois si irrésistible que ça mon chou. » Un bref sourire put se lire sur mes lèvres alors que je m'approchai si près de son visage qu'elle pouvait sentir mon souffle sur son derme. Je la vis chanceler légèrement, reculant d'un demi-pas et j'affichai alors, à mon insue, un air bien plus que satisfait. « Je ne suis pas irrésistible, je suis adorable ma biche, Nuances. » si près d'elle, une envie mortelle avait figé chacune de mes pensées. Voyant que j'étais resté muet à sa demande de sortie en tête-à-tête, parce que c'était exactement ça, qu'elle le veuille ou non, elle avait répliqué d'un ton joueur « Tant pis pour toi, je vais aller dîner ce charmant homme à l’autre table. » Je regardai le mec qu'elle pointait d'un rapide coup d'oeil et puis éclatai de rire en me frottant le menton d'un air hilare.« Tu veux aller avec ce mec? Il vient juste de perdre tout son magot! Un restaurant cinq étoiles, très peu pour lui! » Je ne disais que la vérité, même si en réalité, je souhaitais juste qu'elle arrête et qu'elle accepte, une fois pour toute, que nous n'étions pas que des amis. Et que ce soir, ouais ce soir, nous avions un rencart.Je poursuivis donc, un éternel sourire accroché sur les lèvres « Par contre, moi je peux t'offrir la soirée de tes rêves... » puis mes yeux dévorèrent les siens, comme à chaque fois que je posais mes iris sur sa si parfaite personne.

Invité

01.let's play a love game ϟ jazz' Tumblr_lehczpSxN51qa2mmdo1_500

I would like to be ready to love again

J’ai entendu quelque part qu’aimer c'est toujours dangereux. Qu’aimer, c'est espérer tout gagner en risquant de tout perdre, et c'est aussi parfois accepter de prendre le risque d'être moins aimé que l'on n'aime. Je ne serais pas franche si je disais que le crétin, qui a dit ça, fait fausse route. J’aurais tant aimé ne pas me trouver sur la même route que l’amour. Parce que ça fait mal et que ça arrive d’un seul coup. Ça fait mal quand on vous annonce qu’on vous aime plus. En réalité, c’est constant. Et pourtant, on ressent ce besoin constant de se sentir aimer et d’aimer. L’être humain est si misérable dans ce domaine. Surtout de croire aux coups de foudre et aux âmes sœurs. Foutaise. Pour l’avoir vécu, je peux dire que je n’ai plus envie de ressentir ce sentiment qui fait battre mon cœur et qui me rend complètement rêveuse. Je ne veux plus souffrir, être déchirer par un homme. Seulement, voilà, que je croise son chemin. Et que ce que je crois plus possible pour moi revient au galop. Seulement, Oakley a l’air différent et puis il est bien le contraire de Dwayne. Dans tous les sens du terme. Que ce soit sa façon d’agir et son caractère ou encore la manière dont il m’écoute. Face à Oakley, j’ai l’impression d’être moi, d’être vivante et de rien cacher. La preuve, je peux lui parler des heures sans me trouver idiote. Peut-être que pour lui, ce n’est qu’un jeu et qu’il agit de cette manière rien que pour ça. Je n’en sais rien mais tout ce que je sais, c’est que notre jeu semble lui plaire et ne pas l’ennuyer. J’en suis ravie parce que maintenant, je ne pourrais pas me passer de lui d’un claquement de doigt. Il est devenu l’élément que j’ai besoin de voir chaque jour. Et même si je lui lance des piques en pleine figure, c’est simplement une marque d’affection.

Le mot rencart avait sonné comme un début de truc officiel si on peut dire ça. Quatre mois qu’on se connaît, j’ai l’impression que ça fait bien longtemps, et ça serait la première fois qu’on aurait ce genre de rendez-vous. Ça me faisait peur et en même temps, j’en avais le cœur qui battait la chamade. J’en avais rit afin qu’il me dise que c’était une idiotie. Je ne suis pas encore totalement prête pour la moindre relation. Je ne sais même plus comment on agit, comme ça se passe dans de telle situation. Trois ans que je n’ai pas eu de rencarts, que je n’ai pas diné avec un homme en tête à tête de façon officiel et sérieuse. « Je ne suis pas irrésistible, je suis adorable ma biche. Nuances. » Je n’étais pas étonné qu’il réponde d’une telle manière. Entre nous, on ne se laisse pas faire. Et puis ma réplique était gentillette. Ce n’était pas pour le blesser et encore moins pour le rabaisser. « Si tu le dis, je te crois. » Un clin d’œil pour agrémenter ma phrase. Il avait raison, il était adorable mais aussi irrésistible, très irrésistible. Mais pensons à autre chose. Si je ne me mets pas à parler ou à faire quelque chose, je vais fantasmer sur son corps, sur sa bouche… en somme sur lui en général. C’est pour cela que j’ai sortit le truc du mec sur l’autre table. Je n’avais pas envie d’aller dîner avec ce genre de mec. Les pingouins, ce n’est pas trop mon truc. Apparemment, il était du même avis que moi et ça le fit rire. Je repris ma place en face de lui pour pouvoir bien écouter ce qu’il allait me dire sur le gars. Un petit sourire se dessinait déjà sur mes lèvres, bien que j’avais pas la moindre idée de ce qu’il allait me sortir cette fois-ci. « Tu veux aller avec ce mec ? Il vient juste de perdre tout son magot ! Un restaurant cinq étoiles, très peu pour lui ! » L’argent ce n’était pas ce que je cherche chez un homme. Ça aucune importance pour moi. J’ai baigné pendant toute ma vie et je baigne encore dans l’argent et la popularité. Et même si c’est le cas, je n’ai jamais aimé le montrer et faire des folies avec. J’aime les choses simples. Je peux aussi bien aller dans un restaurant haut de gamme que dans un petit fast-food. L’argent, ça ne rend pas heureux, il faut autre chose avec ça. « Il est tout à fait correcte. Et puis, ce soir, j’ai envie de simplicité. Un petit restaurant fera l’affaire. » Il continuait avec son sourire. Comment on pouvait résister à un tel sourire ? Je suis persuadé qu’il le savait parce qu’il ne l’enlevait pas de son visage. « Par contre, moi je peux t’offrir la soirée de tes rêves… » Oulà, il sortait les grands mots avec les grandes illusions. La soirée de mes rêves, je ne savais même pas à quoi je voudrais qu’elle ressemble. J’en avais passé des soirées de rêve avec mes parents m’offrant de magnifiques choses. Seulement, maintenant, une soirée de rêve n’était plus pareille. Et puis, je n’avais plus les mêmes attentes. « La soirée de mes rêves… D’accords ! » Je me vouais vaincu et puis, j’allais pouvoir voir à quoi ressembler un rencart avec Oakley. Je n’avais pas la moindre idée à quoi m’attendre. On pouvait s’attendre à tout venant de lui, du moins c’est ce que je pense.

Contenu sponsorisé